JC Dunyach / Norbert Wilhelm
JC Dunyach / Norbert Wilhelm
Je me crois conquistador
Quand je vois tous tes trésors
Sur l’oreiller pendant que tu dors,
Nue comme une orchidée carnivore.
Je me sens conquistador
Quand mon sang vibre aussi fort
Qu’un volcan de lave aux reflets d’or,
Et que j’attends que tu viennes encore.
Les rues de la ville ont tissé leur toile,
Mais ça m’est égal, tu es avec moi,
Tu dénoues les fils et tu me dévoiles,
Un eldorado rien que pour moi
Je serai conquistador,
Sans regrets, sans un remords,
J’attendrai que la nuit nous dévore,
Et je t’aimerai jusqu’à l’aurore.
Et pour toi, conquistador,
Dans mes bras, quand tu t’endors,
Je deviendrai ton garde du corps
Pour te protéger comme un trésor.